Une différence qui peut jouer un rôle:

Les femmes sont plus rarement admises aux services de soins intensifs, elles sont en partie traitées différemment et elles ont d’autres résultats. Ces différences varient aussi selon les pays et les régions.

Dans une étude autrichienne, 43 % des patients sous soins intensifs étaient des femmes. On compte davantage d’hommes parmi les admissions jusqu’à un âge de 70 ans, et davantage de femmes pour les âges supérieurs. Indépendamment du degré de sévérité, on a constaté un nombre supérieur de mesures de soins intensifs chez les hommes, sans que ce fait ait influencé le taux de mortalité.