INTENSIV-News
Le volume (excessif) est nuisible
Ausgabe 3/11
Traitement orienté objectifs lors d’une septicémie sévère:
Plus de questions que de réponses
- Prof. Dr. med. Uwe Janssens
- PD Dr. med. Jürgen Graf
Ausgabe 3/11
Prévention de la défaillance rénale lors d’un choc vasodilatateur:
Pression ou flux?
- Dr. Andreas Brunauer
- PD Dr. Martin Dünser, DESA, EDIC
Ausgabe 3/11
Syndrome OPSI:
Septicémie lors d’une asplénie anatomique ou fonctionnelle
- Dr. Christian Theilacker
- Prof. Dr. med. Frank Martin Brunkhorst
- Prof. Dr. med. Winfried V. Kern
Ausgabe 3/11
Avons-nous besoin de la radiographie quotidienne systématique du thorax chez les patients sous soins intensifs?
- Dr. Edith Eisenhuber
- Prim. Univ.-Prof. Dr. Wolfgang Schima
Ausgabe 3/11
Une différence qui peut jouer un rôle:
Facteurs spécifiquement liés au sexe du patient
- Prof. Dr. med. Michael Joannidis
Ausgabe 3/11
ECG chez un footballeur professionnel
- Dr. Stefan Schatzl
- Prof. Dr. Ronald Karnik
- Prim. Dr. Martin Gattermeier
Ausgabe 3/11
Journal de bord des soins intensifs:
Témoin du séjour aux soins intensifs, pour les patients et leurs proches
- Bernd Mitterer
Fluid resuscitation in septic shock: A positive fluid balance
and elevated central venous pressure are associated with increased
mortality.
Boyd JH, Forbes J, Nakada TA, et al. Crit Care Med 2011; 39:259-65
University
of British Columbia Critical Care Research Laboratories, Heart + Lung
Institute, St Paul's Hospital, Vancouver, British Columbia, Canada.
Il y a quelques années encore, une des idées directrices concernant le
remplissage vasculaire était qu’il fallait administrer des volumes
importants pour optimiser la circulation et préserver les fonctions
organiques, dont en particulier la fonction rénale. Entre-temps,
différents travaux ont démontré une relation entre un apport volumique
excessif et un mauvais pronostic chez les patients sous soins intensifs.
Une
analyse rétrospective des patients inclus à l’étude VASST (Vasopressin
in Septic Shock Trial) a examiné l’impact du bilan liquidien sur la
survie à 28 jours. Après correction pour différentes variables parasites
telles que l’âge ou le score APACHE II, l’ampleur du bilan liquidien
positif était indépendamment en corrélation avec la survie au bout de 12
heures et au bout de 4 jours (illustration).
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Tags: intensiv-news volumen
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