INTENSIV-News
Randomized trial of communication facilitators to reduce family distress and intensity of end-of-life care.
Curtis JR, Treece PD, Nielsen EL, Gold J, Ciechanowski PS, Shannon SE, et al. Am J Respir Crit Care Med 2016; 193:154-62
Un décès à l’unité des soins intensifs n’est pas un événement inattendu;
cela se produit malheureusement souvent. La grande majorité des cas est
associée à une restriction ou réduction du traitement ou à un ordre de
ne pas réanimer. L’état mourant et la mort sont précédés de processus
complexes qui confrontent le patient et ses proches à d’énormes défis
au-delà du traitement intensif lui-même. Dans cette phase, l’équipe
soignante est chargée non seulement des questions médicales concernant
le patient, mais aussi de l’accompagnement des proches. Ces derniers se
trouvent dans une situation d’exception et souffrent souvent beaucoup de
se trouver dans un environnement médical très technologique qui peut
paraître froid.
Plus de la moitié des proches souffrent de
symptômes modérés à sévères de stress traumatique. Plus de 80%
rapportent des symptômes tels que fatigue, tristesse ou perte d’appétit.
Ces réactions au stress peuvent déboucher sur un traumatisme
psychologique prolongé, souvent détectable encore 12 mois plus tard. Des
améliorations du dialogue entre les médecins et les proches peuvent non
seulement améliorer la qualité des soins, mais aussi réduire les
séquelles psychiques. C’est dans ce contexte que le traitement axé sur
les proches s’est établi ces dernières années. Il inclut le recours à un
modérateur de communication pour optimiser la communication entre les
proches et l’équipe soignante.
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