INTENSIV-News
Après EPaNIC:
la nutrition parentérale est-elle obsolète?
Ausgabe 6/11
Déception, malveillance, ... ou plutôt un certain malaise?
Quelques réflexions sur l’arrêt de Xigris®
- Prof. Dr. Herwig Gerlach, MBA MSc MAE LLM
Ausgabe 6/11
Vivre après des soins intensifs pour SDRA:
plus rien ne sera-t-il comme avant?
- Prof. Dr. med. Thomas Bein, M.A.
Ausgabe 6/11
Estimation du pronostic chez les patients sous soins intensifs:
une impossibilité?
- Prof. Dr. Andreas Valentin
Ausgabe 6/11
L’erreur dans le détail:
préparation de médicaments à l’unité de soins intensifs
- Prof. Dr. med. Uwe Janssens
La question si une nutrition parentérale (NP) doit encore être considérée en général chez les patients sous soins intensifs et si oui, quand elle doit être commencée, fait aujourd’hui l’objet de grandes controverses. L’étude EPaNIC a examiné l’influence d’un début précoce (<48 h) versus tardif (>8 jours) de la NP chez les patients pour lesquels une nutrition entérale (NE) ne pouvait pas être atteinte.
Les patients du groupe avec NP tardive ont développé moins d’infections et moins de cholestase, leur durée de respiration artificielle et de remplacement rénal a été plus courte et leurs frais de traitement ont été plus faibles. La mortalité hospitalière et la mortalité à 90 jours ont été similaires dans les deux groupes.
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