INTENSIV-News
Étude EARLY-PN:
Une réponse à nos questions en matière de nutrition ou une source de confusion?
Ausgabe 2/14
Symbiose entre la médecine intensive et la médecine d'urgence:
Une médecine commune des situations aiguës
- Prof. Dr. Andreas Valentin
- Prim. Univ.Prof. Dr. Anton Laggner
- Prof. Dr. Wilfred Druml
- Prof. Dr. med. Michael Joannidis
Ausgabe 2/14
Doit-on continuer à pratiquer la mise en hypothermie des patients comateux à la suite d'un arrêt cardio-circulatoire?
- Prof. Dr. med. Michael Holzer
- Prof. Dr. Jasmin Arrich
- Prof. Dr. Wilhelm Behringer
- Prof. Dr. Harald Herkner
- A.o. Univ.-Prof. Dr. Fritz Sterz
Ausgabe 2/14
Avance d'une longueur ou un pas de trop?
Bêtablocage lors de choc septique
- PD Dr. Martin Dünser, DESA, EDIC
- PD Dr. med. Marc M. Berger
Ausgabe 2/14
Étude EARLY-PN:
Une réponse à nos questions en matière de nutrition ou une source de confusion?
- Prof. Dr. Wilfred Druml
Ausgabe 2/14
Remplissage vasculaire lors de pancréatite aiguë:
Quelle quantité est excessive?
- Prim. Prof. Dr. Christian Madl
Ausgabe 2/14
Bactériothérapie fécale lors de colite à C. difficile menaçant la vie
- Univ. Prof. Dr. Christoph Högenauer
Early parenteral nutrition in critically ill patients with
short-term relative contraindications to early enteral nutrition: A
randomized controlled trial.
Doig GS, Simpson F, Sweetman EA, et al. JAMA 2013; 309:2130-8
Northern Clinical School Intensive Care Research Unit, University of Sydney, Sydney, Australia.
Early parenteral nutrition in critically ill patients with
short-term relative contraindications to early enteral nutrition: A full
economic analysis of a multicenter randomized controlled trial based on
US costs.
Doig GS, Simpson F; Early PN Trial
Investigators Group
Clinicoecon Outcomes Res 2013; 5:369-79
Northern Clinical School Intensive Care Research UnitUniversity of Sydney, Sydney, NSW, Australia.
Une des questions les plus controversées dans le domaine de la nutrition
artificielle des patients sous soins intensifs est si une nutrition
parentérale (NP) exerce en soi une influence défavorable sur l'évolution
de la maladie ou le pronostic.
L'étude EPaNIC a montré qu'un
début précoce versus tardif de la NP n'entraîne aucune différence du
taux de survie, mais que certains critères secondaires examinés dans
cette étude (nombre de nouvelles infections, durée de ventilation
artificielle, durée du séjour aux soins intensifs et à l'hôpital, frais
de traitement) indiquent une influence négative (Casaer MP; N Engl J Med
2011; 365:506.
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