INTENSIV-News
Sortie des urgences:
le risque peut-il être limité?
Ausgabe 6/12
Traitement aux catécholamines chez les malades en état critique:
le loup déguisé en brebis?
- Dr. med. Bernhard Bacher
- DDr. Christian A. Schmittinger
- PD Dr. Martin Dünser, DESA, EDIC
Ausgabe 6/12
NaCl 0,9%, ou sérum (non) physiologique:
time to go?
- Prof. Dr. Sibylle Kozek-Langenecker
Ausgabe 6/12
Prévenir une insuffisance rénale aiguë à l'aide d'un brassard de tensiomètre?
- Prof. Dr. Wilfred Druml
Ausgabe 6/12
L'attitude envers les mesures prolongeant la vie change avec le temps
- Prof. Dr. med. Uwe Janssens
Ausgabe 6/12
Journal personnel à l'unité des soins intensifs
- Dirk Knück
- PD Dr. Peter Nydahl, RN BScN, MScN
Patterns and predictors of short-term death after emergency department discharge.
Gabayan
GZ, Derose SF, Asch SM, et al. Ann
Emerg Med 2011; 58:551-558
Department of Medicine, University of California Los Angeles, USA.
Avoir autorisé la sortie d'un patient des urgences et d'apprendre qu'il
est décédé peu après fait partie des situations les plus désagréables
pour le médecin traitant. On s'efforce d'exclure les catastrophes de ce
type par une évaluation du risque aussi objectivable que possible.
Tout
d'abord, il faut se demander quelle est la fréquence de tels
événements. Tout le monde connaît des cas isolés de ce type, notamment
parce qu'ils font systématiquement l'objet de rapports scandalisés dans
les médias. La médecine ne peut pas offrir une sécurité infaillible et
il est impossible de définir pour le cas individuel quelle serait la
fréquence d'un risque inévitable.
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